« Sur les ossements des morts »… on se demande. Et puis la noirceur du roman nous révèle la noirceur du titre. Mais celui là ou un autre. Enfin l’auteure, à la toute fin du roman, décrivant le basculement de l’automne vers l’hiver, récite pour elle-même, approximativement, un vers de William Blake : « Conduis ta charrue par-dessus les ossements des morts ».